achetant voiture accidenté

Nous avons tendance à acheter une voiture neuve dont le prix est supérieur à 25 000 euros. C’est un budget que de nombreux Français ne possèdent pas. Il existe toutefois une solution, celle du véhicule accidenté. Ce dernier peut encore rouler, mais il a besoin de quelques réparations. Si vous avez des compétences dans ce domaine, vous pourriez économiser de l’argent en la réparant.

Achetez votre véhicule accidenté sur Internet

Les voitures accidenté sont parfois vendues uniquement pour les pièces, mais certains modèles sont encore opérationnels. Vous avez seulement des dommages au niveau de la carrosserie. Le prix est alors plus faible, mais quelques réparations la rendront pratiquement neuve. Des professionnels comme Schadeautos proposent plusieurs types comme des voitures particulières, des fourgonnettes, des motos, des caravanes ou encore des poids lourds et des camping-cars.

Vous avez à chaque fois une présentation complète de la voiture et de nombreuses photos qui mettent en avant les dommages. Ils peuvent concerner les phares, les portes, les Airbags… Toutefois, soyez attentif, car l’annonce dévoile les circonstances de l’accident. Une voiture peut être endommagée à la suite d’un vol par exemple.

Le moteur tourne et la voiture roule parfaitement, il faudra seulement changer le pare-choc ainsi que plusieurs équipements. L’économie peut être considérable. Il est même possible d’acheter une voiture accidentée, de la réparer et de la revendre pour réaliser une plus-value.

Achetez une voiture accidentée pour les pièces

Vous possédez déjà une berline, mais celle-ci présente quelques dysfonctionnements. En vous rendant chez le garagiste, la note sera salée, d’où l’intérêt de la réparer soi-même. Ces professionnels proposent des voitures qui ne sont plus en mesure de rouler. Vous les utilisez par contre pour les pièces, le prix est abordable.

Vous réparez alors votre automobile avec le véhicule accidenté acheté. Toutes les pièces que vous n’utiliserez pas pourront être vendues par exemple à d’autres particuliers grâce à Internet. Les tarifs sont aussi séduisants puisque les experts collaborent avec de nombreux partenaires, cela permet de baisser les coûts.

voiture accidentée

Achetez une voiture d’occasion en parfait état de marche

Vous n’avez pas de compétences en réparation et vous cherchez une voiture opérationnelle. Ces professionnels sont aussi à votre disposition grâce à une sélection de plus de 2000 automobiles. Faites une recherche en utilisant la marque, le modèle, l’année de fabrication ainsi que le type de transmission.

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Vous trouverez aisément une voiture d’occasion qui sera en parfait état de marche et beaucoup plus abordable qu’une version neuve. Certains véhicules sont importés, les prix sont alors plus intéressants, mais les démarches pourraient être plus longues notamment s’ils ne sont pas immatriculés.

Prenez le temps de bien peser le pour et le contre de chacune des méthodes afin de dénicher la perle rare. Il existe également en France des garages solidaires qui mettent à votre disposition tout le nécessaire pour réparer un véhicule. Des professionnels sont aussi à vos côtés pour vous aiguiller. C’est une technique à envisager si vous achetez une voiture accidentée. Regardez bien les dommages pour ne pas avoir de mauvaises surprises.

Vérifications administratives et sécurité après réparation

Avant de finaliser une remise en état, prenez le temps d’organiser les contrôles administratifs et techniques indispensables : un passage au contrôle technique et à l’homologation peut s’avérer nécessaire si la structure, le châssis ou les systèmes de sécurité passive ont été modifiés. Demandez une expertise approfondie pour obtenir un rapport sur l’historique du sinistre, l’état des trains roulants, la géométrie du véhicule et l’intégrité du berceau moteur. Veillez aussi à réunir les documents utiles (déclaration de cession, certificat de non-gage, procès-verbal d’intervention) et à informer votre assureur dès l’achat et après réparation afin d’ajuster la couverture et d’éviter toute surprime ou refus d’indemnisation.

D’un point de vue technique et économique, évaluez le coût réel en intégrant le redressage, le soudage de qualité (procédés adaptés), les traitements antirouille, la dépollution des fluides et les tests électroniques (capteurs, recalibrage, reprogrammation si nécessaire). Privilégiez des pièces avec traçabilité et contrôle qualité plutôt que des composants non vérifiés, et faites procéder à des réglages sur banc de contrôle quand il s’agit du freinage ou de la direction. Si vous manquez d’outillage spécialisé, renseignez-vous sur les ateliers d’auto-réparation, les formations courtes ou les dispositifs d’aide locale susceptibles d’aider au financement ou à la mise à disposition d’équipements. Enfin, réalisez un chiffrage de la valeur résiduelle incluant main-d’œuvre, peinture, pièces d’échange et contrôles : cette analyse vous permettra de décider entre rénovation complète, revente après certification ou démontage pour pièces. Ces étapes complémentaires garantissent la conformité routière, renforcent la sécurité et limitent les coûts imprévus lors de la remise en circulation.